Un soir de tempête, les Mouettes surfent avec le vent le long de la côte.                      

Pas besoin de partir loin d'ici. Certains Soirs, il suffit de prendre le Chemin qui longe l'Océan et l'on est déjà Ailleurs. C'est sûr, on peut passer ici des moments étonnants ...                

Pas besoin de partir loin d'ici. Certains Soirs, il suffit de prendre le Chemin qui longe l'Océan et l'on est déjà Ailleurs. C'est sûr, on peut passer ici des moments étonnants ...                

C'était un Soir de Fin Août. Il était tard sur la Plage. L'heure ou le Soleil plonge de l'autre côté. Il faisait encore chaud. Une Brume moite délavait le Ciel et la Mer.  Quelques Baigneurs et des Surfeurs se sont attardés. Pour beaucoup, c'est bientôt la fin des Vacances, il faut en profiter, jusqu'au bout du jour. Pour d'autres, c'est le début ...

C'était au bout du chemin qui mène à la Mer. Pendant quelques minutes, chaque fois qu'il se retirait, l'Océan s'est amusé à peindre le Ciel et ses Nuages sur la Plage. Mais à chacune de ses Vagues qui venait mourir sur le Sable il effaçait tout pour mieux recommencer après. Dommage, vous n'étiez pas là...

Il y a aussi des matins qui ressemblent aux soirs...Et c'était le cas ce matin. De bonne heure...Quel pays!!!!

Hier au soir, sur le front de mer. Il est tard. Par endroit, la lumière s'accroche sur la plage comme si elle ne voulait pas quitter le jour. Sur les bancs, on attend que la fraicheur de la nuit nous chasse. Aux terrasses du front de mer, on boit un dernier verre.

Fin septembre, les vendanges battent leur plein. Dans les vignes les rangs sont désertés depuis peu. Dans les chais on s'affaire encore. La journée est loin d'être terminée. Tout près, l'estuaire glisse longuement vers l'océan. En silence, le soleil se couche derrière les vignobles...

Un soir de février, sur le chemin qui mène à l'océan. Le soleil couchant tente, sans succès, un coup d'éclat. Venant de l'océan, les nuages se précipitent vers l'estuaire. Dans les villages, les rues sont désertes. Les paysages prennent des couleurs froides et métalliques...Des couleurs d'hiver...Il est temps de rentrer...

Un soir de cette semaine, il fallait prendre le chemin qui traverse la forêt de pins. Arrivé sur la plage, attendre, laisser le soleil passer de l'autre côté. Alors, ne restait que les bleus. Les bleus du soir...

Hier, à l'heure du couchant, il fallait être dispendieux de son temps. Sur le chemin balisé qui traverse la dune, l'air était encore chargé du parfum des immortelles des sables. Arrivé sur la plage, une fois encore le promeneur a volé parmi les nuages. Un peu plus tard, sur le chemin du retour, un insecte géant s'est posé pour la nuit, au bord de l'océan ...Ce matin, le temps est gris...

L'avenue qui mène à l'océan est déserte. Sur le front de mer, bien peu de monde. Il faut dire qu'il a plu tout l'après-midi. Peu de chance ce soir, de voir un coucher de soleil.

C'est pour des moments comme celui-ci que le soir j'aime prendre le chemin qui longe l'océan. Au pied des dunes, la lumière du soleil couchant métamorphose le paysage. Le temps se fige, l'imagination et la réalité se percutent.... On est au bord du monde. La sérénité s'empare de vous, de tout...Magnifique planète!

Tout au bout de l'océan, le soleil a disparu. L'or s'étale, glisse sur l'estran laissé libre par le ressac. A chaque vague qui repart, la lumière rasante illumine la plage, dessinent des arabesques sur le sable. Du côté de Cordouan et au dessus des terres, les bleus s'effilochent, se mèlent puis se fondent au fil des minutes qui passent. c'est l'heure bleue. La nuit va tomber. Il est l'heure de rentrer...

Hier soir, j'ai pris le chemin qui mène au bord de l'océan. La fin du jour aurait pu être banale.

Au bout de la route, le ciel blanc de la fin du jour s'enflamme. Il faut vite prendre le chemin qui traverse la dune et s'assoir au bord du monde, pour rêver, regarder passer les dernières mouettes de la journée et l'océan s'endormir sur la plage... La nuit va tomber.

Hier soir, à bâbord de la presqu'île. Aujourd'hui c'est grand ciel bleu...

Il a fait encore chaud cette semaine. Hier soir, nous avons repris la direction de la plage, posé les vélos. Nous avons marché le long de la plage. L'air était lourd et moite. L'océan ressemblait à un lac. Le temps glissait lentement vers le large, le soleil est lentement passé de l'autre côté. Alors tout le monde est rentré....

Un soir d'éclipse, le soleil a joué avec la lune. Et la lune le savait ...

Il fait encore bon, la plage est délaissée. Le coeur monotone, l'océan placide s'endort ...

Le chuintement régulier de l'océan accompagne le promeneur. 

La nuit va tomber. Les baigneurs sont rentrés. La mouette a le ciel pour elle toute seule. Les derniers éclats du jour s'accrochent sur l'estran. Pas envie de rentrer...

Derrière la dune, ce soir d'octobre, le ciel et l'estran prennent des couleurs métalliques. Sur le sable les "tradins" dessinent des fantasmagories ...

Des matins brumeux.                                                                                                                                   Des soirs de cuivre et d'or.                                                                La grève, le refuge

Au bord de la presqu'île, l'instant du crépuscule. La lumière s'incruste dans les plis des nuages qui longent la côte, glisse sur la grève déserte et s'étale sur l'océan qui se prélasse. A cet endroit précis tout se confond, tout se mélange dans une opulence d'espace et de couleurs. Huit minutes pour regarder, huit minutes pour vivre une autre vie...avant la nuit.

A bâbord de la presqu'île, des soirs cuivrés, le murmure de l'océan. Les dernières lueurs du jour glissent sur la plage. La Terre continue son voyage...

14 Février 18 heures 17. Le soleil descend sur l'horizon. Une lumière vive et dorée éclaire les dunes longilignes. Des nuages s'attardent sur la plage, effacés aussitôt par les vagues qui s'étalent. Le soleil disparait de l'autre côté. Le ciel et l'estran se confondent alors dans une confusion chamarrée. Des roses orangés, des bleus et des dorés à profusion. L'océan s'illumine. Vingt quatre minutes de bonheur. Cà c'est pris....

Nuages, roulés-boulés, des flaques de bleu. Ciel noir sur la forêt quI borde la dune. Soir fauve sur la plage déserte, avant que l'orage n'arrive...

Des soirs fauves où le jour flâne sur la plage...où le soleil fait durer le plaisir...où les surfeurs ont du mal a quitter les vagues...

Entre l'estuaire et l'océan, la lumière dorée du soir coule dans les marais. Le soleil passe lentement de l'autre côté, les aigrettes gagnent leur dortoirs. L'été s'échappe sur les autoroutes. La douce mélancolie des premiers soirs de septembre..

Au bout de la rue, l'océan. La lumière orange du couchant attire les promeneurs du soir. Un ciel fauve s'accroche à la flaque laissée par l'orage. On s'installe sur les bancs du front de mer, comme au cinéma. Pas un mot, de peur que la magie disparaisse.