Ces chemins-là vont tout droit. Ils n’en finissent pas de traverser les grands prés bordés de haies de Prunelliers, de Tamaris et de Ronces. Loin de tout, loin du bruit des Villages, ils mènent doucement dans un vieux film « western ».
Magie de ces Paysages Médoquins, il ne faut pas beaucoup d’imagination pour passer derrière l’écran.
Intriguée, une Bergeronette vient à ma rencontre.
Plus loin, aussi curieuses qu’accueillantes, des Blondes d’Aquitaine, les résidentes de ce lieu, sont venues à ma rencontre.
Silencieuses et immobiles, les Eoliennes attendent patiemment le vent.
A la fin de la séance, je suis allé voir les Tradinaires afin qu'ils fassent cabrioler les Mots en Occitan sur leur grand tableau noir. Merci à eux.