Les Chemins du Médoc: Blog photo sur le Médoc
Un blog photo sur le Médoc

Au fil du temps, des moments inattendus, improbables, des lieux sublimes, sur les chemins du Médoc

Des jours médoquins

Jean Le Gabier

Des matins brumeux et frileux, pour attendre le jour se lever

Des soirs blancs et timides pour regarder le jour se coucher
Un faisan solitaire et peureux pour oublier un instant le monde civilisé

Des soirs fauves

Jean Le Gabier


La tempête Diégo

Jean Le Gabier

Les mouettes, en bandes, grisées par le vent, suivent la côte, virevoltant en silence au dessus des vagues déchaînées. Sur la crête des dunes, les oyats, turbulents, gifles sans ménage par les sable qui s'envole, ne savent où donner de la tête...

Il suffit de peu

Jean Le Gabier

Il suffit de peu. C'est tout près...

Ce matin dans les marais

Jean Le Gabier

Le soleil vient tout juste de se lever. Le froid pince les doigts. Au dessus de la mare, flotte un parfum d'iode venu de l'océan tout proche. Dans la roselière le faisan se manifeste. Un couple de cygnes prend son envol...

Quand l'imagination s'emballe

Jean Le Gabier

Il arrive que les soirs deviennent fous. Les rouges elles ors se figent, s'enflamment, se coagulent et se fondent. L'imagination s'emballe, s'enthousiasme, n'a plus de retenue, prends des chemins extrêmes, divague et se fait peur...

Les bleus du jour

Jean Le Gabier

Les jours passent avec leurs bleus qui s'accrochent le soir sur le bord d'une plage...Le soleil n'a pas trop l'esprit à faire la fête...

Le temps d'un instant

Jean Le Gabier

Si proche et si loin du tumulte. Au bord du chemin, le temps d'un instant, l'importance du dérisoire pour trouver la force d'espérer que tout celà cesse...L'océan continue de chanter et les mouettes de danser.....

Des soirs cuivrés

Jean Le Gabier

A bâbord de la presqu'île, des soirs cuivrés, le murmure de l'océan. Les dernières lueurs du jour glissent sur la plage. La Terre continue son voyage...

Des nefs de cathédrale

Jean Le Gabier

Depuis le chemin qui longe la forêt des grands pins, défilent des nefs de cathédrales sans fin. Les fougères encore debout ne laissent pas de place au marcheur. Le crachin de février, cliquette sur les frondes cramoisies par l'hiver... 

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