LesChemins du Queyron bordés de Prunelliers en fleur, nous amènent ailleurs et nous incitent à rester...Il faut en profiter car avec les vents et la pluie de fin Mars, les fragiles fleurs blanches disparaitrons. Aux beaux jours, le dimanche, on prenait ces chemins pour aller déjeuner au Phare de Richard. Ceux qui arrivaient en attelage riaient de se voir poudrés du blanc des chemins. Ca leur était égal, ils étaient heureux d'être ici. Après s'être baignés, derrière la digue, on pêchait des crabes que l'on dégustait cuits avec le fenouil sauvage cueilli sur les rives de l'Estuaire.