Sur la plage, un poète de passage a dressé un bois flotté. Pour que je puisse m'arrêter, prendre le temps, retrouver la liberté qu'inspire la grandeur de cet endroit du monde. Et lorsque la vague s'est retirée, m'étonner de la beauté du détail. Il suffit de rien. En d'autres endroits des quêtes inutiles et futiles.