Un matin d'été, dans les palus qui bordent l'estuaire, les éoliennes sont, silencieuses. Au bout du chemin la "rivière", cuivrée, étale. Des senteurs de fenouil planent dans l'air. C'est l'heure de la marée. Soudainement, les eaux accourent sur l'estran en chuintant.