Dans la forêt de pins qui longe l'océan, une parcelle déboisée. Au milieux des ajoncs et des genêts, deux jeunes chênes solitaires ont été épargnés. Je pense au bucheron qui est passé là, tout à côté de ces arbres et les a préservé. Sans cette clémence, ce matin de novembre, le paysage ne serait pas ce qu'il est et n'exciterait pas notre imagination. Sans doute ne me serais je pas arrêté...