Un matin de décembre, en bordure de forêt, loin des bruits et des contraintes, j'ai pris le chemin de la savane. Au milieu des grandes herbes, je me suis assis au pied d'un baobab solitaire. J'ai attendu les lions, les éléphants, les zèbres et les girafes. Il est encore trop tôt, les gazelles ne sont pas encore arrivées sur les bords du point d'eau ...